Les symboles de la corruption et l’étincelle de la dynamique !
Tous ceux qui suivent la dynamique de la rue algérienne affirment que la cause principale de ce mouvement, ce sont les symboles de la corruption, des hommes d’affaires anonymes, devenus à l’époque de Bouteflika des milliardaires et des décideurs, à travers les marchés et les projets surfacturés, non ou mal réalisés, tel qu’il est les cas de certaines parties de l’autoroute est-ouest, sans oublier les crédits bancaires dont ils ont bénéficié pour accéder à la désignation des ministres qui garantissent leur intérêts personnels et non ceux du pays.
Le peuple s’est révolté parce qu’il sait bien que si Bouteflika reste, ça veut dire, encore de pillage des richesses du pays par l’oligarchie qui ne cessait pas de voler les fortunes du pays, et de contrôler les syndicats de travailleurs, pour faire passer leurs projets factices, or, la rébellion introduite au niveau du FCE est une preuve de la propagation de la corruption dans cet organisme, parce que les ministres protagonistes de l’argent sale représentent les hommes d’affaires et les riches des crédits bancaires, et ils sont au service de la bande, au lieu de servir la nation. Les autorités doivent poursuivre cette oligarchie, qui dévorait les richesses du pays, pariait avec l’avenir de toute une génération, et était la cause de la révolution du peuple contre les voleurs des fonds publics.
Les poursuivre en justice plaira, certes, le peuple et lui rendra un peu d’espoir. Cela est la mission du Ministre de la justice que tout le monde sait qu’il a lutté contre les barons de la corruption, soit à l’intérieur ou en dehors du Pouvoir, de l’APN, et du Sénat. Mais, la propagation de ce fléau dévastateur, qui dévore l’économie et la sécurité nationale ne peut être battu par un seul homme, il faut créer une volonté politique pour exterminer la mafia politicofinancière. Le peuple veut condamner les corrompus qui volaient notre argent, et profitaient des compagnes électorales pour blanchir leurs images opaques, et piller encore de l’argent du peuple.
C’est l’heure des règlements de comptes. Que quelqu’un le fasse !