Presidentielles entre nécessité, exigences et choix?!
En politique, les bases et l’expatrié, l’original et le sous, réel et faux se chevauchent souvent et les résultats sont confus et complexes.
Ce qu’il se passe aujourd’hui en Algérie du mouvement populaire et de la stagnation politique et de la tension régionale partisane, nous devons réformer le gang corrompu afin de ne pas aggraver les choses et d’engager des élections présidentielles mettant fin au vide constitutionnel connu par le pays et d’éviter que les labyrinthes de l’état tombent dans l’inconnu car il ya près de huit mois Bouteflika Nous sommes toujours au début du mouvement, des marches et des slogans et des selfies?!
Qu’est-ce que l’opposition a mis en avant? Qu’ont fourni les chiffres de la mobilité? Personne n’osait nommer au nom du mouvement, à l’exception de revendications dites miraculeuses, parce que le mouvement comme «Les bains de foule» ne dépend pas de lui dans le vote politique et que la durée du vide s’est prolongée et constitue une menace pour la sécurité du pays et des esclaves. Le match a pris fin à son heure légale. Pour une séance de tirs au but, et n’a plus le temps de perdre ou de jouer.
Les présidences, sinon le salut, font partie de la solution finale à la crise parce que les rêves ont été réalisés et nous ne disons pas de revendications parce que le peuple algérien ne s’est pas habitué à formuler des revendications politiques, les régimes précédents ne revenant qu’à des gratifications politiques.
Ce qui a été réalisé aujourd’hui, ce sont des rêves comme aller à Bouteflika et son gang et emprisonner les symboles de la corruption, des choses et des décisions auxquelles nous ne sommes pas habitués depuis l’indépendance, il n’ya donc pas de place pour des enchères politiques, des aventures personnelles ou des récits internationaux.
Les élections présidentielles sont devenues une nécessité urgente pour sauver le pays des tables de jeu régionales et internationales. Si ce n’est pas le paradis promis, il ne sera certainement pas un enfer, le peuple est fatigué des crises politiques et fatigué des slogans fatigués. Un pays doté d’élections vaut mieux qu’un pays sans élections.
L’état des institutions est meilleur que celui des gangs: les martyrs rêvaient d’une patrie et nous espérons avoir une patrie, vive l’Algérie.